Les crématistes

Fédération française de crémation

Qui sommes nous ?

Nos missions

Veiller, par l’application de la loi du 15 novembre 1887, à la liberté de choix du mode d’obsèques et du mode de sépulture, ainsi qu’au strict respect des volontés des citoyens à cet égard.

Promouvoir et défendre la crémation, rendre cette pratique la moins onéreuse possible, veiller, dans son application, à la protection de l’environnement.

Promouvoir et défendre les valeurs et principes de liberté, dignité, solidarité et laïcité.

Veiller à ce que la création et la gestion des équipements crématistes et sites cinéraires restent de préférence dans le secteur public tout au moins sous la responsabilité et le contrôle des autorités publiques.

Contribuer à l’évolution de la société vers un nouvel humanisme devant la mort.

Rassembler les Associations Crématistes de France métropolitaine et d'Outre-mer et coordonner leurs efforts et leurs actions de conseil et d’accompagnement social.

Notre éthique

La fédération agit de manière :

Désintéressée :

elle est indépendante de tout mouvement politique, philosophique, corporatif ou religieux,

Bénévole :

les membres de la fédération sont tous bénévoles et ne perçoivent pas de compensation financière,

Citoyenne :

elle participe à l’évolution de la société et veille à la protection de l’environnement.

L’être humain est au cœur de son action. Son but est de défendre ses droits fondamentaux :

Liberté, c’est-à-dire le choix de son mode d’obsèques (crémation) et de son mode de sépulture (destination des cendres) et son corolaire, le respect absolu des volontés du défunt,
Laïcité, c’est-à-dire le respect des convictions du défunt (philosophiques, religieuses ou non…) dans le déroulement de ses obsèques,
Dignité, ce qui implique un comportement décent envers le défunt et ses proches,

Nos actions

La Fédération Française de Crémation a pour but de regrouper les Associations crématistes et de mettre en œuvre toute action en vue de promouvoir l’idéal crématiste.

Elle fait cela à travers : ses interventions auprès des pouvoirs publics (demande au législateur de réviser/étudier des lois dans ce sens), les actions qu’elle mène avec ses partenaires (colloque, instance consultatives) et les relations qu’elle entretient avec la presse pour informer le grand public.